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Sur le chemin de Diégo, je m'arrête dans la réserve d'Ankarafantsika. Iguanes, lézards, oiseaux, lémuriens et toute une gamme d'insectes et d'araignées sont là. Les crocodiles et les caméléons restent cachés. Les lémuriens blancs (propithecus coquereli) vous regardent, pas effrayés du tout. L'eulemur mongoz est plus peureux. Le microcebus ravelobensis, le plus petit des lémuriens, repose dans son trou d'arbre en attendant la nuit alors que son prédateur, peut-être bien le faucon (Falco zoniventris) rôde dans le ciel cherchant l'occasion de fondre sur lui. Un petit monde qui se cache parmi les jacinthes d'eau du lac Ravelobe
ou dans le grand espace forestier. "Tour à tour gardiennes et conteuses,
les statues se veulent garantes de la mémoire et de la vigilance
des générations futures.
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Les kapidolos, tortues à queue plate (Pyxix planicauda), et les tortues étoilées (Geochelone (Astrochelys) radiata) sont élévées dans des enclos afin de protéger leur survie. Espèces menacées. Le long de la route, des étals de citrons et de bouteilles en plastique remplies d'achars. Après une nuit dans un bungalow et une nouvelle randonnée
matinale en forêt, je reprends la route. Il me faudra près
de 36 heures pour atteindre Diégo.
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Créé le
6 octobre, 2010
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