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Après la Montagne des Français, Martin m'a emmenée à Ramena. C'était en 2009 : voir ici
Une semaine plus tard, je retourne à Ramena pour une randonnée sur les crêtes qui dominent la mer de toute part. Place stratégique, ce lieu conserve, comme à la Montagne des Français, quelques vestiges de l'occupation militaire française, notamment le camp de l'Orangea. Exercice physique, splendeur des paysages et culture assurés.
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Mai 2010, je reviens à Ramena, le temps d'un dimanche gastronomico-musical
Toujours aussi paisible ce joli village qui borde la baie de Diégo. La plage est abritée par les collines qui la séparent de l'Océan Indien et du grand vent. Les boutres attendent la marée favorable pour traverser la passe vers la Mer d'Emeraude ou la pêche au large. Les pirogues et autres petites barques de pêche se laissent doucement bercer par l'eau transparente. Tellement transparente qu'on voit les grosses étoiles de mer posées au fond de l'eau. Les enfants, quand ils ne jouent pas au bateau, vont à la pêche aux tout petits poissons. Un bout de moustiquaire sert de filet qu'ils traînent le long de la grève pour faire comme les grands avec leurs vrais filets. Il n'y a pas grand monde sur la plage et après un bain, on se retrouve au buffet musical qu'on prend sous la tonnelle du Badamera. Ambiance amicale, joyeuse, festive et plaisir pour les papilles.
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Créé le
6 octobre, 2010
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