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Pour aller à Sakalava, comme pour aller à Ramena, la route longe la magnifique baie de Diégo et son pain de sucre. Passées les anciennes salines et la Montagne des Français, on s'engage sur la piste sableuse, direction l'Océan Indien. Il fait chaud, le sable est brûlant. Les arbustes n'offrent aucune ombre. Avant d'atteindre la plage, un sentier s'enfonce parmi les buissons, à droite de la piste et aboutit à un énorme, un immense baobab. Combien faudrait-il de bras pour en faire le tour ?
En prise directe sur le large, la baie de Sakalava est très ventée, ce qui en fait un haut lieu du kite-surf et du fun-bord. Une chance car lorsque les vents se calment, les puces des sables (Tunga penetrans ou Sarcopsylla penetrans) se déchaînent. Il y a aussi les moka fohy (prononcez moukafou), ce sont des simulies, des moucherons de la famille des simulidae dont la piqûre provoque de fortes démangeaisons.
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Créé le
6 octobre, 2010
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