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Montagnes, steppes, déserts, oasis et cours d'eau
Nomades et sédentaires
Une mosaïque de peuples
Les premières traces de vie remontent à la Préhistoire
Puis vient le temps des grandes conquêtes
L'empire perse cherche à s'agrandir, (6è siècle av JC)
Alexandre le Grand arrive de l'ouest (4è siècle av JC)
Les Arabes parviennent à s'imposer au 8è siècle.
Gengis Khan et ses Mongols surgissent de l'est (13è siècle)
Amir Temur (Tamerlan) né près de Samarcande est déjà là (14è siècle)
Tous avides d'empires toujours plus grands
Des empires conquis à force d'actes impitoyables, barbares, inhumains et tour à tour démantelés, ruinés, anéantis.
Place ! Place ! A l'assaut et que je te trucide, t'assassine, brûle tes biens, tes villes et que je reconstruise.

Ne pas oublier, au 15è siècle, le descendant de Gengis Khan et de Tamerlan : le prince Bâbur, le "tigre" du royaume de Ferghana qui a tenté de conquérir Samarcande. Sans succès. Il a fini par fuir en Inde fonder l'empire Moghol.

Tout au long des siècles le pays est envahi par des tribus nomades. Des groupes ethniques s'installent ici et là y apportent leurs savoir-faire et leurs religions. Il est question des Chinois, des Turks, des Huns, des Mongols, des Ouzbeks, des Kazakhs, des Kirghizes...
Les uns attirés par les richesses, d'autres guidés par la foi de leur prophète. Alors que le pays pratiquait différentes religions : zoroastrisme, bouddhisme, christianisme, judaïsme, manichéisme, il faudra compter aussi avec l'islam.

 

 


 



Des bouquets de drapeaux devant les bâtiments
officiels mais pas que comme
ici à Boukhara

 

 

 

 

Blason du pays

 

 

Ce n'est pas fini, à la fin du 19è siècle : invasion des Russes
Au 20ème siècle, après la chute du tsarisme en Russie, c'est l'époque soviétique. L'Ouzbékistan devient une république d'URSS
Depuis le 31 Août 1991 le pays est indépendant
C'est une République laïque
Tachkent est la capitale
On y parle Ouzbek et Russe, rarement l'anglais hélas pour nous pauvres voyageurs. Heureusement le numérique pallie la difficulté grâce à de petits logiciels de traduction.
Les religions du début de notre ère ont disparu sauf un petit groupe de zoroastriens. De l'époque russe il reste quelques chrétiens orthodoxes. Le catholicisme et le judaïsme sont peu représentés. La religion musulmane est majoritaire à 94%


 

N'oublions pas l'aventure commerciale de la route de la soie. Elle commence au 2ème siècle avant JC et poursuit son essor jusqu'au XVème siècle quand les Européens ont ouvert des routes maritimes vers l'Asie du sud et ses épices.

Cliquez, élargissez cette photo prise sur un mur de Khiva

De (et vers) la Perse, de la Chine, de l'Inde et même de la lointaine Europe, les diverses routes de la soie sillonnent l'Asie centrale et convergent dans l'actuel Ouzbékistan. Boukhara et Samarcande en sont le carrefour. La soie et bien d'autres marchandises et techniques et religions transitent par ces voies. Tissus précieux et tissu de coton, pierres précieuses, ambre, ivoire, encens, épices, fer, cuivre, argent arrivent en Europe. Les Européens vont aussi découvrir la boussole, la poudre à canon, le papier-monnaie, l'imprimerie... Ils apprendront le travail des métaux, la culture, l'élevage et notamment l'élevage du ver à soie.
En sens inverse, la Chine reçoit de nouvelles religions (citées précédemment) et les chevaux très résistants d'Asie centrale.

 

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Tachkent

 

23 avril 2019, j'arrive du sud de l'Inde où je croulais sous la chaleur depuis plusieurs semaines. A Tachkent 20°C de moins, rien que ça ! Quelques gouttes de pluie rafraîchissent un peu plus l'atmosphère. Heureusement à l'auberge de jeunesse, l'ambiance est douce.
Ici, les distributeurs ne délivrent que des Dollars transformables ensuite en Sums, la monnaie locale. Seule la carte visa est acceptée pour retirer des billets verts.

La pluie ne va pas m'empêcher de faire un petit tour en ville. A pied, en métro, en bus. Une cité très aérée aux larges avenues bordées d'immeubles sévères. Tout cela reste froid à l'image de l'URSS et de la Russie. Les nombreuses places, les fontaines, les parcs agrémentent le paysage.

Les gens sont très accueillants, souriants, prêts à vous aider absolument. Le must c'est dans les transports : la gent masculine, les enfants, les jeunes (filles ou garçons) cèdent leur place aux dames et aux personnes âgées ! Ça change de l'Inde et il faut bien le dire de chez nous aussi.

Il a plu, il pleut, pleuvra-t-il encore demain ? Demain je quitte la capitale pour Samarcande. 2h seulement dans le TGV ouzbek.

 

De retour de Khiva après toute une nuit dans le train voilà Tachkent sous le soleil !
Une journée pour terminer ma visite. Ce sera le vaste bazar de Tchorsou. Sous l'immense dôme bleu et tout autour dans des annexes, on trouve de tout. Chaque zone est spécialisée : ici la boulangerie-pâtisserie, tiens du sucre candi, j'ai cru de la résine ! Là la viande, ailleurs fruits et légumes, une variété innombrable de fromages, crème..., des pyramides d'épices, des plats préparés surtout des salades colorées et parfumées, sur les trottoirs alentours, des outils, des bijoux et encore et encore...des tissus, des chaussettes... il y en aurait pour des jours. Mais demain matin le train pour la vallée de Ferghana. Andijan exactement à la frontière du Kirghizistan.

 

 

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Comme Ella Maillart, "Je vais visiter une ville dont je ne sais rien que la magie de son nom".
Magie que j'ai découverte en lisant Amin Maalouf, "Samarcande, la plus belle face que la Terre ait jamais tournée vers le soleil "
Bien avant eux, Edgar Allan Poe s'extasiait : "Et maintenant, promène ton regard sur Samarcande ! N'est-elle pas reine de la Terre ?"

La ville m'a charmée avant même d'y arriver. Le train file à travers les champs de coquelicots du printemps naissant. Le choc se produira plus tard. Oui un choc, une émotion forte à vous remplir les yeux de larmes prêtent à déborder à la moindre parole, à la moindre pensée. Juste se laisser porter d'une médersa à une mosquée, d'une cour à une ancienne cellule devenue échoppe, d'une statue à un mausolée, cénotaphe ou tombeau et partout les dômes bleus, verts, lisses ou cannelés et partout des calligraphies, céramique, bannai, mosaïque, étoiles, .
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Mieux voir la finesse du travail , CLIC

J'ai arpenté à pied pendant plusieurs jours les nombreux quartiers de la cité ancienne, outre le reghistan (place publique autrefois sableuse), j'ai admiré Gour Emir, le mausolée de Tamerlan), Cha-i-Zinda, la grande nécropole, La mosquée et le tombeau de Bibi Khanoum l'épouse favorite de Tamerlan, la mosquée Khazert Khyzr que l'on découvre depuis le bazar. Khyzr est le patron des voyageurs, je me devais d'aller le visiter. J'ai pris ensuite un sentier au milieu des coquelicots. Si nombreux, si touffus qu'il m'a fallu un peu de temps pour remarquer les petites tombes blanches sous la masse rouge des pétales. J'étais dans un cimetière.


Vous voulez voir tout cela ? Il suffit de cliquer sur les images

 

Le Reghistan

 

 


Demain 28 avril, je quitte Samarcande pour Navoï, une étape intermédiaire avant Boukhara dans l'espoir d'aller vers le Nord à travers le désert de Kyzyl Kum et ses merveilles. Pétroglyphes entre autres. Hélàs... Mais rien n'a été perdu. A l'hôtel de Navoï je rencontre un groupe de nageurs de Tachkent. Je partage de bons moments avec eux et une amitié nouvelle avec leur entraîneuse.

Le 29 avril après de longues discussions à la gare des taxis, une longue attente pour avoir trois autres passagers avec moi, le chauffeur prend enfin le volant pour franchir les 120 km qui nous séparent de Boukhara.

 

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La foule des touristes, dont beaucoup de Français et d'Italiens, m'attend à Boukhara. Il m'en a fallu du temps pour trouver un hébergement dans le musée à ciel ouvert qu'est le Chakhristan (la vieille ville).

Ma logeuse est une adorable dame. Le thé offert s'est terminé par un repas familial sur le tapchan où j'ai mangé le meilleur plov (plat national) de tout le pays. La guesthouse était complète, on m'a installée dans le salon, sur un bon matelas posé au sol.
Le petit déjeuner se tient dans la vaste cour intérieure où trône un gros mûrier blanc. Si les vers à soie se nourrissent des feuilles, nous, nous avons récolté et savouré les délicieuses mûres sucrées. Mieux vaut les déguster que les laisser coller ou glisser sous les chaussures.


                                                                                
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Si Boukhara est moins spectaculaire que Samarcande, sur le plan des décorations, il est agréable de sillonner à pied la ville à la recherche des anciens caravansérails transformés en ateliers et échoppes d'artisans en céramique, tissus et autres objets.
Outre la forteresse de l'Arc qui domine la place du reghistan et la jolie mosquée du vendredi qui se reflète dans l'eau du bassin, outre l'ensemble du Kalon avec son minaret qui domine la ville de ses 48 mètres, et les bazars, les marchés sous leurs bulles et encore le complexe de Liab-I-Haouz (haouz signifie bassin) un bien agréable bassin où il fait bon flâner, le soir quand la ville retrouve son calme, quand les touristes dînent dans les tchaïkhana. Tout près de là, la statue de Khodja Nasreddin sur son âne goûte aussi la paix retrouvé. Loin, très loin parfois, d'étonnants mausolées, une curieuse petite mosquée [Tchor minor (quatre minarets)], ce qui reste des antiques remparts...


J'ai assisté par hasard à une petite fête dans une ancienne medersa devenue le siège d'une association française. J'y ai vu des enfants, parfois très jeunes chanter et déclamer des poèmes dans un français impeccable.


 

C'est un bus qui m'a conduite au palais Sitoraï-Makhi-Khosa, le palais du dernier émir, Alim Khan. Les bâtiments sont maintenant des musées même l'ancien harem qui se reflète dans le grand bassin où les concubines se baignaient. Dans les jardins du palais, des paons se pavanent au son d'un violon

 

 

Deux galeries Photos


      

 

Quatre jours à Boukhara sont insuffisants pour visiter la quantité de monuments en ville et dans les environs.
Le 3 mai je reprends un taxi partagé pour Khiva, avec Ingrid, rencontrée à Boukhara. Elle parle allemand, anglais et un peu français,
on arrive à bien communiquer.

 


Rencontrés à Boukhara

 

Pie ?

Perdrix rouge, Alectoris Rufa

Tourterelle maillée, Spilopelia Senegalensis


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Toujours plus à l'Est, entre les déserts de Khizi Koum et de Kara Koum, la route d'abord très difficile au sortir de Boukhara file tout droit à travers un paysage nu. Le bout du Monde. Et soudain, un ruban bleu ! L'Amou Darya ! Je l'attendais, je savais qu'il était là le long de la frontière avec le Turkménistan. Hélas, comme son jumeau Syr Darya, il ne parvient plus depuis longtemps à alimenter la mer d'Aral.



La température monte, le chauffeur du taxi-partagé peine à conduire. Après 5 h de route, Khiva est là, Itchan Kala intacte à l'abri de ses remparts. Une longue histoire que je vais découvrir inscrite dans les dédales de cette vieille ville.

Dans un quartier calme du nord, face aux remparts, une petite guesthouse à deux pas de l’effervescence qui règne de 10h du matin jusque vers 17 h. Beaucoup de Français.

Tôt le matin, tard le soir je vais flâner dans les endroits touristiques vides. Aux heures d'affluence j'erre dans les endroits déserts, les ruelles, les remparts dessus, dessous, dehors, dedans. Ce vieux village de Khiva m'a charmé. J'ai aimé la pierre brute couleur du désert piquée par-ci par-là de céramique turquoise, bleue, blanche. Ici, oublié le décorum de Samarcande, à l'extérieur principalement car l'intérieur de certains lieux saints comme le mausolée de Pakhlavan Mahmoud sous son dôme vert est une profusion de faïence. Murs, plafonds, sol en sont recouverts. Il faut bien ça pour le patron de Khiva.


Devant le grand caravansérail Allakouli Khan je me prends à rêver de ces caravanes qui sillonnaient la route de la soie et s'arrêtaient ici dans la capitale du Khorezm pour s'approvisionner en eau douce. J'imagine l'animation commerciale, les marchands, les travailleurs, les vieux, les démunis, les esclaves aussi hélas. Tout un peuple chahuté par les luttes, les rivalités entre clans ...
Les deux seuls chameaux que j'ai vu sont au bout du rouleau. Ils font couleur locale, les visiteurs se prennent en photo à côté ou sur ces pauvres bêtes qui tiennent à peine debout.

Je suis affolée par la hausse rapide de la température à Khiva.
Hier 25, aujourd'hui 28, demain 33, et ça continue...
Vendredi prochain 37 !
L'hiver est à peine fini que déjà l'été commence.


L'ombre est rare, un seul banc libre dans la cour ce la médersa convertie en hôtel. Je m'installe pour consulter rapidement mon guide. Un monsieur est déjà là accablé par la chaleur. La conversation s'engage. Je reconnais l'accent de chez moi. Pile, il est originaire de mon village et connaît certains de mes amis. Le monde est si petit !

Je ne me suis pas arrêtée là. Avec un passe pour deux jours j'ai pu approcher et/ou entrer un peu partout, voir ces monuments aperçus la première nuit du haut des remparts, puis le lendemain matin toujours de là-haut.

La galerie photos, go !

 

 

Le soir du 6 mai, je prends le train de nuit pour Tachkent où j'arrive le lendemain matin sous un grand ciel bleu. Une seule nuit dans la même guesthouse qu'aux premiers jours avant de reprendre un train pour Andijan dans la vallée de Ferghana.


Le jour est levé,

 

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Traversée par le Syr Darya qui descend tout droit des montagnes du Pamir, la Vallée de Ferghana est une vaste plaine où la culture du coton est florissante, trop importante car il faut beaucoup d'eau pour abreuver cette terre menacée par le désert. Le Syr Darya et ses affluents sont là et s'épuisent tant et si bien que le fleuve ne parvient plus, comme son jumeau Amou Darya, jusqu'à la Mer d'Aral. On connaît l'histoire de ce grand lac d'eau salée que l'on appelle mer, qui s'est réduit en abandonnant ses bateaux, fantômes des temps passés gisant à des kilomètres de ce qui reste de cette peau de chagrin. Mais l'espoir renaît. Depuis une dizaine d'années l'eau revient.


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Après une nuit à Tachkent, je prends le train pour Andijan. Quel beau trajet avec les montagnes du Pamir à droite, les sommets du Tchatkal à gauche, les Monts Ferghana exposent leurs sommets enneigés tout droit devant. Le fleuve caracole le long de la voie ferrée tantôt d'un côté tantôt de l'autre.  Il court, il court parfois stoppé par un barrage...

Sans lui et ses affluents, la région serait désertique. Au milieu de ce monde minéral, des oasis où se cachent villages et petite ville. Andijan, Ferghana-Marguilan et Kokand sont d'importantes villes.

J'étais encore sur le quai de la gare quand une personne m'accoste vivement en criant mon nom ! C'était l'entraîneuse de natation rencontrée à Navoï quelques jours plus tôt. Bien sûr je suis allée applaudir les espoirs Ouzbeks.
Nous avons partagée une chambre, la plus confortable de tout mon voyage !
Le lendemain c'était la fête de la Victoire, plus précisément la commémoration en l'honneur des vétérans et des martyrs de la seconde guerre mondiale.
Nous avons posé devant la flamme et au pied du monument couvert de fleurs. Le défilé militaire est passé devant nous au son de l'hymne national et aussi de "Kalinka malinka"

C'est à Andijan qu'est né Babour, descendant de Tamerlan. Le dernier Timouride et le premier Moghol. C'est lui qui est parti en Inde fonder l'empire Moghol.
Une jolie ville Andijan, aérée avec des jardins où se pavanent les paons en liberté, des sortes de colombes (si vous en savez plus, ne m'oubliez pas), des fontaines, des fleurs à profusion......
Je repasserai à Andijan dans quelques jours pour entrer au Kirghizistan tout proche.


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C'est en taxi collectif que j'arrive à Ferghana. La guesthouse où j'ai prévu de m'installer est complète, le responsable m'accompagne avec sa voiture chez une de ses amis. Une maison récemment restaurée dans un quartier calme, ouvert et fleuri. Accueil simple et chaleureux. Nous sommes peu nombreux autour de la table pour le petit déjeuner qui s'éternise agréablement dans la cour intérieure. Je dirais BRAVO, comme le nom de l'hôtel.
Une jeune française partage le dortoir avec moi. Nous partirons ensemble pour Kokand. Mais pour l'heure, je pars visiter Ferghana. Le bazar (grand marché) avec toujours ses larges pains plats décorés de tampons métalliques.

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Dos au bazar, j'emprunte la rue piétonne, je traverse des canaux barrés de curieuses machines sortes de moulins, j'arrive au parc Al-Ferghani, nom du célèbre astronome qui trône tout près de là. La fête foraine bat son plein. La grande roue, le bateau pirate et tous les manèges mondialement connus sont là et surprise, un manège d'antan que nous appelions "casseroles".

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Une vingtaine de kms sépare Marguilan de Ferghana. Un mini bus, la gare routière, le bazar et tombe sur une fabrique de soie : Yodgorlik. Il est presque midi, j'entre. Un groupe termine la visite, je reste seule. Un peu rapidement avant la fermeture je parviens à faire le tour : l'élevage des vers, le dévidage des cocons, le filage, la mise en bobines, en écheveaux... jusqu'au tissage de longues bandes de tissus traditionnels et de tapis mais pas volant !


 

 

 

 

 


Ce n'était pas un bon jour pour visiter Kokand. Dimanche tout fermé, personne dans les rues. Pas possible de voir l'intérieur du palais de Khoudayar Khan. Nous nous contentons d'admirer les façades et tours recouvertes de mosaïques vernissées bleues, jaunes, vertes.

Le lendemain matin chacune part de son côté. Je décide de retourner à Andijan et de là, passer au Kirghizistan. A Osh.

 

 

 

Pour le travail de la soie à la fabrique de Yodgorlik c'est sur la vidéo

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Créé le 27 août, 2019
Modifié le 28 février, 2020

© Asie centrale 2019, Mireille Jeanjean. Les textes et les photos édités sur ce site sont la propriété de l'auteur....
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